Le FMI - voilà un autre "machin" qui applique toujours les mêmes principes ... Un machin qui imagine que la même recette va être éternellement tenable non seulement pour l'humanité mais pour la planète.
Cette élite qui décide de notre fin prochaine aime s'auto-congratuler dans de longs rapports inutiles qui répètent toujours les mêmes trucs. Heureusement que cette bande d'imbéciles n'a pas vu le Brexit et Trump. Ils ont juste prédit la fin du monde si le peuple ne votait pas comme eux le voudraient .... J'attends toujours la fin du monde suite au Brexit !!!
Une fois de plus ... ils devraient juste se taire !
Quant à la présidente du FMI qui fait partie de la gauche "caviar" qui roule en Porche et qui trouve chic d'être de gauche. Elle est une vraie capitaliste avec une fortune estimée à 145 millions d'euros !
Elle m'a choqué lorsqu'elle déclara être surprise de ne pas avoir été informée par la BNS de l'arrêt du taux plancher EUR/CHF ... Zut, elle n'a pas pu informer des "amis" pour réaliser un super coup !
https://www.letemps.ch/economie/2015/01/15/christine-lagarde-surprise-ne-avertie
Ben oui, la Suisse est libre et pas soumise --- et on vous emm... 😊
Je vous laisse prendre connaissance de cette horrible chose qu'est la baisse de productivité (pour qui ? pour les riches ? pour les pauvres ? pour la planète ?) - et du résumé d'un rapport écrit par des surdiplomés surpayés et surcons !
Qui a dit que demain serait comme aujourd'hui ? ... je sais ... un expert formatés qui a bien appris sa leçon !
Washington - La directrice générale du FMI Christine Lagarde a appelé
lundi les pays riches à prendre des mesures pour relancer un progrès de
la productivité, mesure clé de l'amélioration du niveau de vie à long
terme.
Au cours des dix dernières années,
depuis la crise financière et la récession, la croissance de la
productivité dans les pays avancés s'est affaissée à +0,3% au lieu de
+1% auparavant, a indiqué Mme Lagarde présentant à Washington un rapport
du Fonds monétaire sur "l'énigme" du ralentissement de la productivité.
Si
la productivité avait poursuivi sa hausse au rythme d'avant la crise,
le Produit intérieur brut (PIB) des grandes économies seraient de 5%
plus haut aujourd'hui, a-t-elle souligné.
Aux
Etats-Unis, l'année 2016 a accusé la plus faible progression de la
productivité moyenne annuelle depuis 2011, à +0,2% seulement par rapport
à 2015, selon des données du ministère du Travail.
Mme
Lagarde a plaidé pour un maintien des investissements publics dans la
recherche fondamentale qui finance les innovations majeures.
Si
les dépenses en recherche et développement étaient en hausse de 40% en
moyenne, le Produit intérieur brut (PIB) des pays avancés pourrait
progresser de 5% à long terme.
Elle a prôné un renforcement du commerce assurant, selon la phrase du philosophe Montesquieu, que "là où il y a du commerce, il y a de bonnes moeurs".
Selon le rapport du FMI, le processus
d'intégration commercial de la Chine entre 1995 et 2007 a compté pour
10% dans l'amélioration de la productivité dans les pays avancés.
Face
au vieillissement de la population, un des facteurs les plus important
expliquant le ralentissement de productivité, les grands pays peuvent
"optimiser les flux de réfugiés qui viennent à eux", a encore affirmé
Mme Lagarde, plaidant pour un effort porté sur la formation.
- Vers une renaissance? -
Globalement,
le tassement de la productivité dans les pays avancés relève beaucoup
de l'héritage de la crise financière de 2008 qui a affaibli durablement
les investissements.
Le vieillissement de la
population a aussi un poids important pouvant compter jusqu'à 0,5 point
de pourcentage dans le ralentissement de la progression de la
productivité, souligne le rapport.
"Une
renaissance" de la croissance de la productivité "tirée par le secteur
de l'intelligence artificielle et par d'autres innovations est
concevable, mais son ampleur et son calendrier sont difficiles à
prévoir", affirme les experts du Fonds.
"Les
innovations technologiques semblent s'accélérer à un rythme jamais vu,
des voitures autonomes aux robots-avocats en passant par des impressions
3D d'organes humains", a affirmé Mme Lagarde.
Le
rapport note par ailleurs que la mauvaise évaluation de l'impact du
numérique: "oui, il y a une partie de la productivité qui n'est pas
prise en compte", a reconnu Mme Lagarde.
Il
est probable, reconnaît le FMI, que l'outil statistique mesure mal
l'impact d'activités liées au numérique tels que les réseaux sociaux, la
fourniture d'informations et de divertissement gratuits, qui génèrent
ressources publicitaires et ventes.
"Un des
soucis est l'exclusion du PIB de la valeur de l'information gratuite,
des réseaux sociaux, du divertissement qui sont financés par les revenus
publicitaires et la vente d'informations à propos des usagers", dit le
rapport.
Si l'on y ajoute les services
pair-à-pair (comme Uber), dont l'activité est encore faible dans le
produit national mais qui a tendance à être sous-estimée, l'impact de la
mauvaise évaluation de l'économie numérique équivaut à un dixième de
pourcentage (0,1%) dans le ralentissement de la productivité aux
Etats-Unis, selon le rapport.
(©AFP / 03 avril 2017 18h53)